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Avec ses cloches, bols, cordes, blocs, peaux, sinusoïdes, larynx, électricité, LFant métamorphose son instrument pour chanter l’impermanence de Tchouang Tseu

LFant est un solo de batterie amplifiée où les larsens des tambours chantent avec les métaux. De l’improvisation naissent les chansons d’un éléphant qu’une nuée de fourmis ronge de l’intérieur.

Nourri de aïkus de K.Cobain et de yoga sutras, le chant fait vibrer les organes et les connecte à la tempête des membres.

Le courant électrique nargue l’écho acoustique dans une danse où les fantômes de la matière retournent à l’état sauvage.

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